jeudi 17 juillet 2014

Astor Pizza, mais tu vas la fermer, ta grande gueule ?


Je viens à l'instant encore de tomber par hasard, à la radio, sur la musique abominable de ce gros con de Piazzolla. Comme à chaque fois, l'effet est immédiat. Ma tension monte et j'ai envie de tuer quelqu'un. Que des gens soient assez fous, que des humains aient aussi peu de considération pour eux-mêmes pour accepter d'entendre, voire d'écouter, cette musique, me stupéfie toujours à un degré extrême. Peut-on imaginer mélasse plus obscène, plus dégoulinante, plus répugnante ? Je ne le crois pas. Je ne vois guère que Michel Legrand pour être capable de rivaliser dans la putasserie avec cette chose immonde. Pauvre tango, pauvre Argentine, pauvre bandonéon, dont les noms sont désormais associés à cette crapule malfaisante. Tout est laid, dans cette musique, tout est bête, tout est de mauvais goût, vulgaire au dernier degré, tout est en toc, en plastoc, c'est comme si la plus belle fille de la soirée était édentée et était habillée de sacs plastiques de supermarché, c'est à pleurer de rage, c'est à se pendre. Ce n'est pas la première que je le dis, mais Piazzolla est un criminel contre l'humanité, il faut le tondre, le noyer dans de l'huile de friteuse, l'envoyer à Cayenne, l'abonner aux TIG de l'enfer. Je le condamne à recopier ad vitam æternam l'Art de la Fugue et l'opus 106 de Beethoven sur du PQ simple épaisseur avec un crayon à papier 2H.