L'été, puis l'automne, puis l'hiver… Mais rien. Même avec le printemps qu'on espère encore. C'est toujours « mais rien ». Ça revient, le rien. C'est la vague de la mer, c'est le ressac de la vie, c'est la puissance de la mort dans la vie et son obstination folle. Le rien on s'y habitue, ou presque, c'est le « mais » qui est cruel et démentiel.