samedi 29 septembre 2012

Vacances. Onze anus à Tora-Bora (épilogue)


Je m’arrête de jouer aux fléchettes pour vous écrire soudainement.

Écoute le vent de l'Histoire qui souffle dans mon tuba plongé dans l'huile bouillante ! N'allume pas la lumière ! J'ai les pieds et les mains liés, on me jette dans la piscine. L'hélicoptère s'est écrasé sur le mur d'enceinte. 

Retourne te coucher, Adèle ! Je prie avec le Köchel 491, ma fiancée est encore en retard. À moins qu'ils ne soient tous morts. Le dernier son qu'il entendit fut le son du basson. 

Je repense à la création de l'Ombre double, à tous les ratés de la 4X. C'est la guerre, toujours, même quand nos parents sont trop vieux pour se souvenir de la leur. 

Il ne restait plus que Georges… Ce n'était pas prévu.