À Barcelone, ou à Carcassonne, je suis allongé sur le dos et je joue une délicieuse sonate de Mozart, dont le thème de la fugue est fait de gammes descendantes. Je tourne les pages de la partition en cliquant sur mes couilles, à un endroit précis. Un peu plus loin, comme j'ai les deux mains occupées, mon élève (c'est la douce Thu Dung) se penche au dessus de moi et appuie du bout de ses doigts sur mes couilles (elle cherche et trouve le bon endroit). Je sens son parfum et je défaille.