mercredi 11 juin 2014

C'est plus possible ! Faut que ça cesse !


Je crois qu'on va baisser le rideau. Trop de travail ! Les bonnes nouvelles arrivent à la vitesse de la lumière, ça n'arrête pas… Et pourtant, on était motivé… Non, c'est plus possible, faut reconnaître… C'est pas faute de vouloir faire son petit métier, mais là, le challenge il est trop lourd on a envie de dire… On est des humains, quoi… On ne regarde même plus la télé, c'est dire…

Les Distributeurs automatiques de Culture. Oui, vous avez bien lu. Là, je pense qu'on est obligé de faire une minute de silence virtuel*, car il me semble que même Philippe Muray n'avait pas vu jusque là. Libre accès… Je l'avais bien dit… Le terrible poison du XXIe siècle : le libre accès.

Couchons-nous dans le lit Brakcè, le lit profond et parfumé comme la tombe, et ne pensons plus à rien. Voici la paix qui vient déjà, ouhla-houp, ouhla-houp, comme dit Roger, quand il est sur le trône.


(*) Pseu me demande s'il doit mettre "virtuel" au masculin ou au féminin. La minute virtuelle ou le silence virtuel, me demande-t-il, ce vieux Pseu ! Mon pauvre ami, comme tu es dépassé. Ça n'a plus aucune importance, de toute manière. Mets les deux, si c'est possible.