dimanche 29 juillet 2012

Shoot 2


Répétez après Georges :


A l’heure où la crise économique révèle une crise politique, sociale, humaine, spirituelle qui frappe les plus fragiles, bien jouer du violoncelle dans une luxueuse tour d’ivoire ne suffit plus. Ophélie Gaillard l’a bien compris et, armée de ses deux violoncelles (un sur le dos, le Goffriler monté avec des cordes en boyau pour le répertoire baroque, et un dans la main droite, un instrument français monté avec des cordes en métal pour le reste) ce petit bout de jeune femme aux bras d’acier paye de sa personne dans des centres culturels et des école de la Seine Saint-Denis (93). Pour que “les loups n’entrent pas dans Paris (magnifique chanson de Serge Reggiani), il suffit pour cela d’un peu de courage, d’imagination et de fraternité. Ce qui ne l’empêche pas de jouer aussi dans les grandes salles et les festivals prestigieux. Tout ne peut pas venir d’en haut, c’est-à-dire de l’Etat, chacun peut à sa manière y mettre un peu du sien.

A l’heure où la crise économique révèle une crise politique, sociale, humaine, spirituelle qui frappe les plus fragiles, bien jouer du violoncelle dans une luxueuse tour d’ivoire ne suffit plus. Ophélie Gaillard l’a bien compris et, armée de ses deux violoncelles (un sur le dos, le Goffriler monté avec des cordes en boyau pour le répertoire baroque, et un dans la main droite, un instrument français monté avec des cordes en métal pour le reste) ce petit bout de jeune femme aux bras d’acier paye de sa personne dans des centres culturels et des école de la Seine Saint-Denis (93). Pour que “les loups n’entrent pas dans Paris (magnifique chanson de Serge Reggiani), il suffit pour cela d’un peu de courage, d’imagination et de fraternité. Ce qui ne l’empêche pas de jouer aussi dans les grandes salles et les festivals prestigieux. Tout ne peut pas venir d’en haut, c’est-à-dire de l’Etat, chacun peut à sa manière y mettre un peu du sien.

A l’heure où la crise économique révèle une crise politique, sociale, humaine, spirituelle qui frappe les plus fragiles, bien jouer du violoncelle dans une luxueuse tour d’ivoire ne suffit plus. Ophélie Gaillard l’a bien compris et, armée de ses deux violoncelles (un sur le dos, le Goffriler monté avec des cordes en boyau pour le répertoire baroque, et un dans la main droite, un instrument français monté avec des cordes en métal pour le reste) ce petit bout de jeune femme aux bras d’acier paye de sa personne dans des centres culturels et des école de la Seine Saint-Denis (93). Pour que “les loups n’entrent pas dans Paris (magnifique chanson de Serge Reggiani), il suffit pour cela d’un peu de courage, d’imagination et de fraternité. Ce qui ne l’empêche pas de jouer aussi dans les grandes salles et les festivals prestigieux. Tout ne peut pas venir d’en haut, c’est-à-dire de l’Etat, chacun peut à sa manière y mettre un peu du sien.

A l’heure où la crise économique révèle une crise politique, sociale, humaine, spirituelle qui frappe les plus fragiles, bien jouer du violoncelle dans une luxueuse tour d’ivoire ne suffit plus. Ophélie Gaillard l’a bien compris et, armée de ses deux violoncelles (un sur le dos, le Goffriler monté avec des cordes en boyau pour le répertoire baroque, et un dans la main droite, un instrument français monté avec des cordes en métal pour le reste) ce petit bout de jeune femme aux bras d’acier paye de sa personne dans des centres culturels et des école de la Seine Saint-Denis (93). Pour que “les loups n’entrent pas dans Paris (magnifique chanson de Serge Reggiani), il suffit pour cela d’un peu de courage, d’imagination et de fraternité. Ce qui ne l’empêche pas de jouer aussi dans les grandes salles et les festivals prestigieux. Tout ne peut pas venir d’en haut, c’est-à-dire de l’Etat, chacun peut à sa manière y mettre un peu du sien.


DC ad infinitum