Il n'y a pas d'individus. Il n'y a que du social, il n'y a que du groupe, que du clan, que de la famille, que de la mafia, que du réseau, que de l'internement et de l'exclusion tenus par les bras psychologiques et transpirants du ressentiment. Chacun se met sous la protection du cercle, de la tombe, de la pyramide inversée qui saigne et signe, qui scelle et qui cèle. C'est la coucherie virtuelle, les menstrues qui reviennent à intervalles réguliers pour évacuer ce qui est en trop, ce qui est passé, ce sur quoi on ne peut plus miser, c'est la braise froide du dégueuli fraternel. C'est la cache, c'est la traque. Ils ont tous un polichinelle dans le miroir. À la banque, pour de nouvelles aventures…
N'oubliez pas de vider la poubelle. Ça finirait par sentir.