mercredi 11 janvier 2012

Je vous pose la question, Chère Anna !


« Chère Anna, est-il possible, envisageable même, de prendre la défense d'un individu capable d'écrire ceci ? Je n'en suis pas sûr. »

Allons ! La vie a encore assez de générosité pour nous offrir de tels moments de drôlerie, il ne faut donc pas désespérer. Quand des troufions pareils (je me suis toujours demandé s'il fallait un "f" ou deux "f" à trouffion…) se posent des questions pareilles, le ciel est d'un bleu éclatant, métallique, et l'on croit entendre le rire tonitruant de Don Juan Matus qui provient du jardin. La musique de Schumann n'est jamais aussi belle que lorsqu'un improbable humour naît sur le fumier fumant de la tristesse.