mercredi 23 janvier 2013

Amer Clavier, évidemment


Norman Rosten et Marilyn Monroe assistant à New York à un récital d'Emil Gilels. 

Une série politico-merdique française où le spin doctor — forcément génial — en charge de la campagne de la candidate (forcément) à l'élection présidentielle prépare un meeting important à Lyon. Il choisit les "musiques", et annonce à son staff : « Alors, la Marseillaise, évidemment, et puis, à la fin, le mouvement lent de la sonate Hammerklavier de Beethoven. » 

Arnaud Parlotte, à France-Culture, dans une émission consacrée au dernier livre de Yasmina Reza, qui fait — forcément — allusion à la même sonate, qu'il prononce : « Amer Clavier. »