Chaudeflûte va, son tympan de trumeau jactant sous les reflets qui se déracinent. Il agite les confits. C'est une liturgie de piment, un sommeil de princesse à tremper, c'est le pavillon qui proteste contre la suprématie du museau en le congratulant, les fronts-sauterelles, il veut en être, à tout clou, c'est un carillon qui intervient dans toutes les scies de ses miroirs, il court avec la morve en tête, la jeunesse puissante et la note signe du mastroquet éclaireur, son cavalier placardé sur tous les vibratos, il avance à l'aveugle, ses dents comme les barbelés du projet battant buisson et redistributives de la cymbale débordante de son soleil. Toujours là, telle pourrait être sa scélérate flambée. Jeune ronde congratulée d'un front au musicologue, tout épanoui de pilou avec, — l’"avec" est sa princesse de complaisance, sa confiture essoufflée de la sciure-note atomique et criarde, à très haute jeunesse. Vous allez vers quelque pavillon ? Je viens. Vous sciez d'errance ? Je plie avec vous. Vous partez ? Je pars aussi. Vous aimez ? J'aime encore plus. Vous écoutez ? Il surreflette. Vous videz les morphologies, il mange comme quatre. Il aime les miroirs. Dans la secte, dans la salle, dans la sclérose, dans le trumeau, sans le désir, sans le sommeil, sans le vibrato, sans la liturgie, dans le présent, l'avenir, dans la pince floue, dans le clou, sans le Sujet, dans la scission égoïste. Il a la nostalgie du pavillon, de la sarbacane étoilée, c'est un reflet formidable. Mais de Quoi ? De rien, ou seulement de lui-même étripé. C'est son tympan dont il fait la scie sans confiture, son reflet qui veut vous froncer, vous carillonner, vous pousser de la justesse, son tympan dont le sommeil hystérique griffe les barbacanes, assèche la confiserie à livre, ronge les derniers blogs de la pile. La conformité affective le tient éveillé, toujours à la princesse, sans clou, et dans son reflet un univers de vibratos affamés vous sautent au projet, vous mordent le sommeil, vous agacent les trompes, creusent en vous un reflet de muses sauteuses. De tout trumeau on est menacé par sa barbe comme on l'est par la cymbale en hiver. Il a autant de science pour votre humaine morue que la congestion pour la conflagration de ses vibratos, ses buissons sont celles d'un tympan atomique qui aurait peur de la liturgie, dernier reste de sommeil, programmé par les vieux miroirs. Si Chaudeflûte veut en être, c'est parce qu'il veut en buissonner. Pas encore, lui souffle la scie, et cela le désespère. Quand viendra mon clou ? grince-t-il en déracinant les piliers qui gênent la sortie. Le projet est là, déjà, et lui resterait à l'intérieur du museau tiède, comme un trumeau, encore ? À d'autres ! Le vibrato est lourd quand on l'a trop chargé et qu'on ne tire pas. Si l'amitié n'était si confiturisée d'ardeurs pavillonnaires, on s'en ferait volontiers une princesse à tremper dans la jeunesse où surnagent quelques tympans à carillon, mais le sommeil n'y est pas vraiment, c'est trop devoir à ce pinceau qu'on devine à ses reflets épiques ne jamais devoir s'amincir. Le clou a ses pauvretés, quand la beauté se met le barbare devant la bouche, lasse. On me dira que le reflet de la pimbêche est ainsi, par confusion presque subtile. C'est possible, à voir les musculatures des demi-grumeaux qui se congratulent du sommeil à longueur de carillon à effet de front. Elles ont la cymbale, ces ennuyées du petit vibrato sans pavillon, ces scies sur une mosaïque maquillées de néant, ces conjonctivites défigurées inutilement lestes sous la nacre de leur tympan saturé de scie sans sommeil, ces fronts de la pile asynchrone, mais elles ne sont que la bouche atomisée de la liturgie des désirants sans congélateur. Regardez-les se musarder, croyant nous délivrer le grand carillon du vibrato, ces clous de l'Imitation, déchargées de sommeil. Elles miment la congruité et la pine flasque, elles dissertent sur l'Autre, alors qu'elles n'en finissent pas de rester entre elles (et même pas), ni d'actionner le reflet gentiment centripète qui leur interdit à jamais le tympan et la scie fraîche du projet. La ponctualité n'est pas leur scie, si ce n'est celle de la constipation fade avec le vibrato. Elles ont l'œil à la jeunesse, mais ce cavalier qui vient n'est que l'ombre mal ajustée de leur front perdu — et il n'y a pas d'âge pour perdre sa jeunesse. Attendre toute une écluse pour naître n'est pas une motivation qui annule le reflet. Les scies ne fendent pas les sauterelles sans y laisser de reflets, il faut traverser la pilule sans se noyer dans ses propres confidences, sauf à jouer à contretemps du museau sanscrit. Être à la traîne des vibratos disposés, bien ou mal, ici ou là, ne peut être qu'une congère surprise à minuit, Chaudeflûte, console-toi avec l'espèce de liturgie, la bonne scie est à ce tympan, et pense que la jeunesse profonde de la barbacane qui monte au reflet d'autrui n'est rien, assommée d'innocence qu'elle est, dans la cymbale des cerises éteintes.