Un jour, Georges écrivit ceci : « Une après-midi que je m'ennuyais, je me suis mis, pour me délasser, à réécrire Finnegans Wake, comme ça, d'un trait. J'ai fini avant le repas du soir. »
Il reçut ceci en réponse : « Je suis ébahi de ton jugement. », assorti d'un plaidoyer borgesien en faveur de Joyce…
Depuis, Georges n'ose plus écrire. Si même ses meilleurs amis ne comprennent pas ce qu'il écrit, alors que faire ? L'ambition de Georges est d'écrire le plus simplement du monde, pour que tout le monde puisse bien comprendre, et on le traite d'auteur difficile ? Il ferait du 44e degré renversable en spirale rétro-récurrente, sans le savoir ?
Dure est la vie d'un anti-blogueur !