Ô toi, que la nuit rend si belle,
Qu'il m'est doux, penché vers tes seins,
D'écouter la plainte éternelle
Qui sanglote dans les bassins !
Lune, eau sonore, nuit bénie,
Arbres qui frissonnez autour,
Votre pure mélancolie
Est le miroir de mon amour.
Plutôt mort que sympa !
Il y a 3464 textes sur ce blog, dont plus de 1500 qui sont (encore) publiés. Je le tiens depuis une quinzaine d'années. Je n'ai jama...