« J’ai eu hier un appel téléphonique de Karim Ouchikh, et une conversation d’une heure avec lui. Suivant l’usage, il a parlé cinquante-cinq minutes et moi cinq — je me demande s’il en va de la sorte, chez lui, avec tout le monde, ou bien seulement dans ses échanges avec moi : on ne peut placer un mot qu’en l’interrompant, ce que je déteste faire. »
« La politique est une affaire de lucidité, de courage et de principe (mon parcours en témoigne largement), mais aussi de sang-froid, de lucidité et peut-être aussi et surtout d’esprit de corps (n’avons-nous pas "charge d’âmes" ?). »