La joie – un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, avant-arrière, très rapidement ; flirt avec le temps – du geste.
Une des plus jolies choses que j'aie observées, c'est la manière dont une femme (encore jeune) enfile sa culotte, ou son string, avec ces petits mouvements de glissière, ou de cisaille, d'avant en arrière et d'arrière en avant, les pouces sous le tissu, en remontant vers les hanches. C'est très rapide, et c'est un mouvement continu : on ne perçoit qu'une sorte de petit ballet millimétré et exalté.
Une des plus jolies choses que j'aie observées, c'est la manière dont une femme (encore jeune) enfile sa culotte, ou son string, avec ces petits mouvements de glissière, ou de cisaille, d'avant en arrière et d'arrière en avant, les pouces sous le tissu, en remontant vers les hanches. C'est très rapide, et c'est un mouvement continu : on ne perçoit qu'une sorte de petit ballet millimétré et exalté.
Mais tout est beau, c'est vrai, dans l'habillage ou la toilette d'une femme – et l'étonnant est que même en une époque où le vêtement est devenu si laid, cette beauté-là reste entière.