Les poils de tes aisselles répondant à ta chatteOuvrent en me souriant deux puits supplémentairesTu miaules en t'écartant lorsque je te colmateOffrant à mon plaisir tes forêts spéculairesDehors c'est le blocus du bonheur asexuéLes filles à nombril défilent sans m'exciterElles roulent des fesses mais ne savent pas plaireOn ne croise dans les rues que putes velléitairesMon amie toisonnée tu bafoues le programmeQui voulait que tu sois totalement nickeléeAfin que jamais plus on ne te veuille niquerMême si tu criais que tu brûles dans les flammesDehors souffle en tornade l'époque qui commenceLe bruit que tu entends ce sont ses doléancesLes cris que tu perçois sont des cris de vengeanceL'humanité entière bout dans son innocenceTriple pilosité rayonnante et propiceSouveraines broderies que tu viens exhiberQue j'embrasse sans fin avant de te courberPressé de dévoiler tes plus beaux orificesEt dehors l'ennemi cuit dans ses sucreriesIl a tout effacé derrière ses vacheriesLa ville est maintenant soigneusement contrôléeTout espoir s'est enfui de cet Espace Bébé(…)
Je savais que je pouvais compter sur Muray.